jeudi 30 octobre 2008

THE DEFINITIVE STORY OF CBGB [2006 - 320 KBPS]

Le CBGB - acronyme de "Country-Blue Grass-Blues" a été pendant longtemps la scène de prédilection des groupes punk - ou assimilés - new-yorkais. Ouvert en décembre 1973 par Hilly Kristal dans le but d'y attirer les groupes de country/blues/blue-grass, le club va très vite devenir l'antre d'un tout autre genre de musique. A peu près tout la scène underground new-yorkaise des années 70 et 80 a joué au moins une fois au CBGB. Les Ramones y ont donné leur premier concert, c'est là que Dee-Dee a lancé pour la première fois son légendaire "One, Two, Three, Four". Là aussi que Television, Blondie, les Dead Boys, entre autres, ont débuté ou se sont fait un nom. Même le grand Lester Bangs a eu l'occasion d'y faire un boeuf avec ses potes musiciens. Plus tard c'est la scène "No wave" qui prit le relai et s'installa au CBGB, et après encore les groupes de punk hardcore y furent accueillis à leur tour. Mythique tout simplement.



Le CBGB a fermé ses portes en 2005, pour des raisons bêtement financières, après plus de 30 ans de bons et loyaux services pour la cause du rock'nroll. Cette compilation - 34 groupes sur 2 CD - lui rend hommage, de façon non exhaustive forcément mais le plus fidèlement possible, mariant groupes incontournables et d'autres presque oubliés. On peut toujours s'étonner de certains oublis - les Talking Heads par exemple -, s'indigner du choix des titres pas toujours les plus pertinents ou même regretter que ne soient pas privilégiés les enregistrements live au CBGB. Malgré tout, cette Definitive Story offre une superbe collection du rock underground US.

Otto

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mercredi 29 octobre 2008

LES CHARLOTS - Caf'Conc'Charlots (1968-320kb/s)

Les Charlots est le nom d'un groupe de musique français formé dans les années 1960, composé de Gérard Rinaldi, Gérard Filipelli, Jean Sarrus, Luis Rego et Jean-Guy Fechner. Outre leurs disques, ils doivent leur célébrité aux films comiques dans lesquels ils ont joué, comme Les Bidasses en folie, Les Fous du stade ou Le Grand Bazar.

En 1966, le groupe s'appelle Les Problèmes et accompagne Antoine en tournée. Il est alors composé de Gérard Rinaldi (chant), Jean Sarrus (basse), Gérard Filipelli (guitare solo), Luis Rego (guitare rythmique) et Donald Rieubon (batterie).

Peu après la formation des Charlots, Donald Rieubon les quitte et est remplacé par Jean-Guy Fechner, le frère de leur manager d'alors, Christian Fechner. Les Charlots se spécialisent dans la chanson humoristique et jouent dans plusieurs films comiques, qui connaissent souvent un grand succès en salle et s'exportent très bien à l'étranger.

Luis Rego se sépare officiellement des Charlots après leur deuxième film, Les Bidasses en folie, mais apparaît dans certains de leurs films suivants. Jean-Guy Fechner va quitter le groupe à son tour quelques années plus tard, à la suite d'une brouille entre son frère Christian et les Charlots. Au milieu des années 1980, alors que les Charlots rencontrent un succès moindre, c'est au tour du chanteur, Gérard Rinaldi, de quitter le groupe ; il sera remplacé par Richard Bonnot. Le trio (désormais composé de Richard Bonnot, Gérard Filipelli et Jean Sarrus) se sépare définitivement après un ultime film, Le Retour des Charlots, en 1992.

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RIP VINYL DE MA COLLECTION, CRAQUEMENTS DE TEMPS EN TEMPS!

jeudi 23 octobre 2008

SKANKING THE SCUM AWAY (2000-320kb/s)

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mercredi 22 octobre 2008

mardi 21 octobre 2008

LA CANNE A SWING (2006-320kb/s)

Des airs de valse à l'entrain d'une guinguette,en frétillant sur un rythme de boléro,tout cela mixé dans un cocktail "swing" : vous voilà immergé dans l'univers de la CANNE A SWING! kevin goubern et lolo blet sont à l'origine de cette formation. "puisant"dans le répertoire jazz manouche,le rythme et la mélodie qui accompagnent leurs créations musicales. c'est en indre-et-loire qu'ils ont fait leurs premières scènes,surprenant le public tourangeau. Ils enchainent actuellement les concerts au quatre coins de l'hexagone..

myspace canne a swing

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lundi 13 octobre 2008

ASSOIFFES - Live 100% Pur Jus (2001-320kb/s)

Né en 1992 dans une cave de la banlieue nord de Paris, « Assoiffés » dans sa
première formation n’a pour but que de « boeufer » et de participer à quelques
concerts locaux.
En 1997 une formation solide apparaît et donne naissance en 98 à un premier
Cd : « Skapharnaüm », 4 titres auto produit qui sera rapidement distribué
par Tripsichord.
Décidé à persister dans l’auto production, il se crée autour du groupe l’association
« On Va Pas S’Gener ! » qui produit en 99 le deuxième Cd:
« Appellation incontrôlée », 14 titres originaux, distribué par Tripsichord.
Leurs nombreux dates de concerts et festivals (+ de 200) dans lesquels ils ont
croisé beaucoup de groupes comme Ludwig von 88, La Ruda Salska, Marcel
& son Orchestre, les Caméléons, K2r Riddim, Docteur Ringding ou Burning
Heads
…, ont amené « Assoiffés » à enregistrer un live: « Pur Jus » 17 titres
enregistrés lors d’un concert en juin 2000 et toujours distribué chez Tripsichord.
Convaincu qu’une scène vraiment alternative peut exister, sans rechercher
publicité, ni médiatisation à outrance, c’est dans son public que « Assoiffés »
plonge ses racines, c’est pour lui qu’il joue et c’est celui-ci qui le fait exister.
Du Reggae pour s’tortiller, du ska pour sautiller, du Punk-rock pour pogoter,
des textes entre Margerin et les Bérurier, des cuivres et des choeurs féminins
pour les « pêches » ou les moments roots ……...

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dimanche 12 octobre 2008

AKHENATON - Meteque et Mat (1995-320kb/s)


Philippe Fragione est né le 17 septembre 1968 dans le 3ème arrondissement de Marseille. Issu d'une famille d'immigrés italiens originaires de Naples et de sicile, Philippe (AKH) se passionne très vite pour l'histoire (il va lire une encyclopédie entière à l'âge de 8 ans) les dinosaures, et l'Égypte[réf. nécessaire] (il en tirera d'ailleurs son pseudo, AKHENATON, en référence à Akhénaton le neuvième pharaon de la 18e dynastie).

Jusqu'à ses seize ans, Philippe, appelé aussi Chill partage son temps libre entre les copains, le football et ses lectures. Après un séjour dans la famille de son père, installée à New York, Philippe découvre le rap. De ce jour, sa vision de la vie change totalement. Il vit alors avec son père, fonctionnaire à la Sécurité sociale et lui annonce alors qu'il n'a que 17 ans, son désir de faire du rap. Il poursuivra tout de même ses études mais abandonnera lors de sa première année de DEUG en biologie.

1995. A cette époque, Internet n'était pas encore développé, l'équipe de France d'Aimé Jacquet n'était pas encore Championne du Monde (à des années-lumière même) et Jacques Chirac allait être élu Président mais pas avec 82% (à des années-lumière même). Mais là n'est pas le sujet, nous allons plutôt nous concentrer sur le 1er album solo d'Akhenaton, l'excellent "Métèque et Mat". Cette solitaire apparition discographique du chanteur d'IAM n'est pas dû à une quelconque embrouille avec son collègue Shurik'n, loin de là, mais plutôt à un besoin de se retrouver seul pour évoquer des sujets personnels qui touchent presque à l'intimé de son auteur. En effet, on sent dans cet album une totale implication et un certain don de soi de la part d'Akhenaton qui a donné beaucoup de sa personne pour écrire cette LP très profond et touchant. Akh met ici au grand jour sont talent d'écriture mais aussi de narrateur, les histoires qu'ils débitent derrière le micro étant captivantes, teintés d'un réalisme historique et social qui font adhérer immédiatement l'auditeur. "Métèque et mat" est très fortement influencé par les origines méditerranéennes de Tchill, ses racines naturelles, la Sicile, et adoptives, l'Islam et l'Orient. Ces différentes cultures sont omniprésentes tout au long de l'album mais plus particulièrement sur des morceaux comme "L'Américano","la Cosca", véritable fresque historique des pérégrinations des immigrants italiens, ou "Dirigé vers l'Est". Outre la diversité des cultures, cette LP propose aussi une diversité des thèmes abordés. En plus des chansons relatives à ses différentes origines, on retrouve bien sûr des morceaux à dominante sociale, mais pas uniquement. J'ai ainsi pu constater que je n'étais pas le seul à avoir une dent contre ces maudits fonctionnaires, Akhenaton voulant carrément "Eclater un type des assedics". Moi je me contenterai de "foutre des feintes aux contrôleurs" comme dirait d'autres, m'enfin bon, on compte plus les corps de fonctionnaire à blâmer. Chose assez inhabituelle pour un rappeur, il manie avec finesse l'autodérision dans "Je suis peut-être...". Cette autodérision est souvent la marque d'une certaine maturité, surtout dans ce milieu où il est bon ton de se prendre pour un bonhomme et le plus fort. De toute façon, moi je dis ça mais bon, je ne suis qu'un sale petit con orgueilleux, moche, hirsute, écervelé, sans humour et s'apparentant à une grosse merde. Mention spéciale aussi à "Face B", hymne au rap underground, véritable catalyseur du hip-hop français, même si Akh n'en fait pas vraiment partie avec ses milliers, voir ses millions, de disques vendus. En conclusion, "Métèque et Mat" est un album très abouti dont les chansons sont d'un excellent niveau et par conséquent c'est un classique à mettre entre toutes les oreilles, initiées ou non.

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LES TRAPETTISTES - Mechants! (2000-320kb/s)

LES TRAPETTISTES :
Chanson énergisante aux arômes naturels d'accordéon. Cinq joyeux lurons proposeront une musique épicée, teintée de rock et de ragga, accommodée à la sauce musette. Les textes n'épargnent personne, épinglant chacun de nos petits travers…
Les Trapettistes partagent également tous les instants de leur vie : les discussions décousues sur le coin d'une buvette, leurs tendances ethniques dans la musette, la sensibilité d'une chanson de terroir, la dérision omniprésente des travers de l'homme…
Enfants de Charlie-Bové et José-Hebdo, ce club des cinq offre sur scène une symbiose de leurs chansons énergisantes et ne vous laissera pas les deux pieds dans le même sabot.

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samedi 11 octobre 2008

BABIL - Des Rires Aux Sanglots (2006-320kb/s)


Le BABIL est une vocalisation spontanée émise par les nourrissons. Cette même vocalisation évolue chez l'être humain. Elle s'enrichit d'expériences nouvelles plus ou moins douloureuses, de rencontres humaines plus ou moins souhaitables, de litres de larmes comme des décibels gigantesques d'éclats de rire mais reste toujours aussi spontanée. Cette vocalisation spontanée , (ou ce babil), évolue par conséquent par le biais de différents modes d'expressions.

Le groupe BABIL est avant tout cinq hommes liés par une seule et même passion: la création. Son mode d'expression créatif est celui de la musique. Une musique remplie de carisme, de souplesse, d'extravagance, de folie et surtout de liberté. La liberté d'utiliser la musique comme un moyen d'expression à part entière et de poursuivre notre babil jusqu'à notre dernier souffle.

BABIL est réellement un nouveau concept musical où le reegae, le rock et le hip-hop s'allient de manière tout à fait originale. Mettre une étiquette catégorique sur ce groupe est difficilement envisageable, du moins pour toutes les personnes qui n'ont pas besoin de mettre les musiciens dans des cases toutes faites.Les textes sont le point d'honneur du groupe. La vie, la mort, la sexualité, la souffrance, la conjoncture sociale et politique sont des thèmes abordés avec sincérité. De façon générale, lors de leur prestation en public, ce dernier reste très rarement insensible. Leur énergie dégagée sur scène est contagieuse et leur franchise souvent appréciée. Les sourires et les larmes ne forment plus qu'un.

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samedi 4 octobre 2008

UNIVERSAL EGG PRESENT - The Egg Files (1997-320kb/s)


Universal Egg was initially begun by Zion Train to promote Zion Train music and productions. This expanded into the release and promotion of what we consider to be undiscovered and beautiful music. There is no aim for world domination just a commitment to quality output.

With labels like Studio One, Blue Note, Real World, ECM and Sun Ra's Saturn imprint as inspirations Universal Egg has grown from humble beginnings, the first releases being distributed by London Transport, to having world wide distribution and a reputation to match.

Although the early releases were mainly Dub sounds the eclectic nature of the label was demonstrated on early releases like Robert Charlesworth's tranquil, Eno-esque 'Music for the Third Ear' and reached its pinnacle with the sublime 'Anoraks' by Penumbra. 2001 saw another genre explored by Universal Egg the beautiful new folk of the Headmix album 'Reach Out'

Dub is our first love with Vibronics, Tassilli Players, Nucleus Roots,Aabssi All Stars, Mad Professor and Zion Train providing the bedrock of the label's output. All of these artists help to maintain the reputation of Universal Egg as the most adventurous of UK Dub labels.

1998 saw the launch of our new vinyl label Deep Root following the traditional vocal/dub format. The response has been phenomenal...

2004 saw the second Vibronics long player 'Dubliftment' and a remix album of 'Original Sounds Of The Zion' with some amazing contributions from a bunch of exciting musicians.

As the early Zion Train works have become unavailable we have decided to reissue some of them and this reissue programme started in 2004 with a new edition of 'Power One', 'Power Two' and 'Jah Holds The Key' on coloured vinyl 7". This was followed by 'A Passage To Indica',and ' Natural Wonders Of The World In Dub', with 'Siren' following in 2006.

Love Grocer joined the Universal Egg family in 2005 and it was a great pleasure to release their third long player in 2006 alongside the debut album from the Abassi All Stars. We also released our first download only album with the Tassilli Players 'Ages Of The Earth in Dub' and hence entered another new chapter of the Universal Egg story with our dubplate downloads.

Radikal Dub Kolektiv and Nucleus Roots joined the Egg family in 2007 with their debut vinyl releases alongside the 'Dub Showcase' album from Abassi All Stars which with the new Zion Train album 'Live As One' made 2007 our most successful year yet. Plans for 2008 include 'Lead With The Bass Vol 3', and Dub Terror's debut long player so the future looks bright for all eggheads.

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DAWN PENN - No, No, No (1994-256KB/S)

Dawn Penn (born Dawn Pickering, 1952, Kingston, Jamaica) is a Jamaican reggae singer.

She recorded a small number of unsuccessful tunes for Prince Buster around 1966. In 1967 she recorded and released the rocksteady single, "You Don’t Love Me (No, No, No)" (in fact a remake of a 1961 blues tune called "You Don't Love Me" by Willie Cobbs, which itself was a remake of Bo Diddley's 1955 song "She's Fine, She's Mine" aka "You Don't Love Me"), produced by Coxsone Dodd at Studio One.[1] She also recorded "Why Did You Leave" at Studio One, "Broke My Heart" for Bunny Lee, "I Let You Go Boy" and covers of To Sir with Love and Here Comes the Sun.

However by 1970, Penn had left the music industry and moved to the Virgin Islands. Nevertheless, in 1987 she returned to Jamaica and music.

In the summer of 1992 she was invited to appear on stage at a Studio One anniversary show, where she performed the single "You Don’t Love Me (No, No, No)" with Steely & Clevie as backing musicians. The performance was a great success, and she returned to the studio to re-record the song for Steely & Cleevie's Studio One tribute album. It was released as a single over a year later, topping the charts in the U.S., Europe, and her native Jamaica.[2], and reaching #3 in the UK.

Subsequently, her single has been sampled and covered by the artists Kano, Hexstatic, Jae Millz, Ghostface Killah, Mims, EVE ft. Stephen Marley and Rihanna. Their versions were all renamed as "No, No, No", bar Ghostface's which was named "New Splash". Lily Allen has also sampled "You Don't Love Me" in her song, "Shame For You". The song was also performed by Blue King Brown on Australian youth radio network Triple J as part of their Like A Version program in 2006.

Penn performed with Faisal X at the Drum, Birmingham, UK in April 2006.

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vendredi 3 octobre 2008

ANIS - La Chance (2005-160kb/s)

Anis, 28 ans, aura ramé avant de connaître le succès. « Les choses n'ont pas été faciles, en effet. Mais j'ai croisé la chance, je l'ai reconnue et j'en ai fait un album, La Chance... », sourit celui qui a grandi « à Cergy, dans le 9-5 », auprès d'un père médecin marocain et d'une mère assistante sociale russe.
Ce qui frappe d'abord chez lui, c'est sa voix. Un vrai crooner. Pour reprendre les mots de France Gall à propos d'Ella Fitzgerald, Anis c'est « comme une gaieté, comme un sourire, quelque chose dans la voix qui nous fait sentir étrangement bien ».

S'il voue un culte aux stars du swing et du be-bop comme Sarah Vaughan et Nat King Cole, Anis se nourrit aussi de Peter Tosh, Public Ennemy, Screamin' Jay Hawkins et des 3 « B » Barbara, Brel et Brassens. Chanson, hip-hop, reggae, blues et soul, son répertoire reflète toutes ses influences. Engagées mais jamais amères, les chansons d'Anis ont le goût d'un diabolo menthe : rafraîchissantes à la première gorgée, piquantes à la deuxième. Qu'il parle d'intégration ou qu'il salue les mérites de l'oisiveté, son « flow de paroles » (18 lignes minimum par titre) est toujours au service d'idées. Bref, une chanson populaire qui respire la vie.

Le garçon a fait ses armes « à l'arrache » dans le métro parisien. Dur, mais plus « tripant » que l'école, qu'il a quittée en première ES parce que « c'était hypocrite d'aller au lycée pour sécher ou fumer bédo sur bédo ». C'était plus honnête d'aller s'entraîner « le mercredi après-midi avec des groupes de reggae comme K2R Riddim à la maison de quartier ». Ou de « prendre le train du piano à 17 ans ». Repéré par un directeur artistique, il lui aura fallu dix ans pour percer et enregistrer un « sept titres » écoulé à près de 15 000 exemplaires.

De quoi attirer l'attention des maisons de disques : « Je n'avais qu'à choisir et faire monter la sauce », confie ce fan de BD, qui collectionne les Stan Smith d'Adidas depuis qu'elles ont servi de symbole pour une campagne de SOS Racisme. Aujourd'hui, Anis est heureux de défendre sa Chance sur scène. Son rêve ? Parcourir le monde comme le chanteur Antoine. « Il s'est pas fait la belle vie, sans dec' ? », rigole-t-il avant de s'éclipser.

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MEI TEI SHO - Live-

RETIRE DE LA LISTE SUITE A LA DEMANDE DE LEUR MANAGEMENT!

NO SPORTS - Riddim Roots An' Culture (1998-256kb/s)

o Sports waren eine von 1985 bis 2002 bestehende Ska-Band aus dem Raum Stuttgart.

Ende der 1980er und Beginn der 1990er Jahre gehören No Sports mit Skaos aus dem bayrischen Krumbach, The Busters aus Wiesloch, The Braces aus Jülich, El Bosso & die Ping-Pongs aus Münster und Blechreiz aus Berlin zu den ersten Wegbereitern der Deutschen Ska-Szene und absolvieren miteinander zahlreiche Konzerte.

Insgesamt durchliefen 27 Musiker die Band, deren Muskrichtung anfangs nur aus klassischem Ska, später auch Elemente aus Hip-Hop, Rap, Raggamuffin und Reggae beinhaltete. Ihre größten Erfolge hatte die Band mit den Songs „King Kong“, „Stay rude, stay rebel“ und „Girlie, Girlie“ an die sich jeweils eine Deutschlandtournee bzw. eine ausgedehnte Europatournee mit Gigs in Italien, Frankreich, der Schweiz, Deutschland, Belgien, Holland und Dänemark anschloss. Auf internationalen Festivals trat die Band zusammen mit Laurel Aitken auf.

Seit Anfang 2005 tritt die Band als Nu Sports wieder auf. Im Juli 2008 ging Nu Sports auf Tournee nach Japan.

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MONKEY SHOP - Common Sense, Common Ground (1998-256kb/s)

Der Grundstein für 'Monkey Shop' wurde im Herbst 1993 in Köln gelegt. 'Winston Friday' lernte 'Matthes' über eine Anzeige kennen, in welcher dieser Leute für eine Afro-Band suchte. Da die beiden schnell ihre gemeinsame Vorliebe für Ska-Musik entdeckten, entwickelte sich aus der eigentlich avisierten Afro-Band bald eine Ska-Band: 'Monkey Shop' war geboren. 'Winston Friday' spielte damals schon seit gut einem Jahr bei den Banana Peels Slippers, und 'Matthes' kannte aus vielen Jahren Kölner Szene jede Menge Musiker. Gemeinsam haben die beiden die Band dann aufgestockt, nachdem sie zunächst zu zweit 2-Tone-Kassetten begleitet hatten.

Die Musik 'Monkey Shop' ist eine vielfältige Mischung aus traditionellem Ska, Rockabilly, Reggae, die gelegentlich ein Big Band-Feeling aufkommen lässt, welches aber kein Wunder bei einer Besetzung von neun bis zu zehn Musikern ist. Alles ist gekonnt arrangiert, und die durch eine erstklassige Bläsersektion unterstützten, eingängigen Melodien lassen schnell gute Laune aufkommen. Eine Besonderheit ist auch der abwechselnde Frauen- und Männergesang, der vornehmlich Geschichten aus dem täglichen Leben erzählt.

Neben 'Monkey Shop' gab und gibt es immer noch es parallel 'Gerry Lee & The Wanted Men'. Dort spielen 'Gerry', der Monkey Shop-Sänger, 'Matthes' und 'Winston' Country und Western Swing. Nach der Trennung von Monkey Shop 1999 entstanden u.a. die 'Calamities', eine Mädels-Ska-Band. Hier singt Ina von Monkey Shop und Ines von Monkey Shop spielte dort einige Zeit Bass. Zu den jecken Tagen in Köln finden sich immer wieder Monkey Shop-Trompeter Hannes, Winston und Posaunist Ekki Maas, der das Album 'Monkey Business' für ELMO in Münster produzierte, in der Band 'Skarneval' zusammen. (Info: 'Winston Friday', ehemaliger

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jeudi 2 octobre 2008

LA LIBERTE EST AILLEURS (1997-320kb/s)


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LIBERATOR - Worldwide Delivery (1998-320kb/s)

It's 1994 in the very south of Sweden, to be precise Sweden third largest town Malmö - a band called LIBERATOR are jamming around, trying to bring back-beat into the music and the local scene by playing covers by THE BEAT, MADNESS and THE SPECIALS etc. Being the party band they set out to be things are of course not really that serious, but nevertheless a demo is recorded and sent out to various labels. Moments later the band has secure a deal with Burning Heart Records who's interest and love for ska has made the label aware of an expanding previously non-existing, now growing Swedish scene and upcoming bands as LIBERATOR, CHICKENPOX, STIFF BREEZE, TIC TOX etc. Burning Heart offers LIBERATOR a song on the "One Step Ahead" CD-single compilation, and from then onwards Liberator and Burning Heart are a team determined to set the nations youth on fire by giving them healthy doses of the new Swe-Tone ska dance craze.

Three years later, LIBERATOR are Sweden's best known...well probably even one of Europe's best known new ska acts. During those years one album ("This is" -96), two EP's ("Freedom fighters" -95 and "Carefully blended" -97) and one single ("Tell me, Tell- me" -96) has been released, establishing the band as a much beloved and vivid band, both on record as well as live, and has build the band a large dedicated following because of their insane and frantic adrenaline-filled live shows. Already being the Swedish godfathers of ska, the band has also influenced many young Swedish bands into playing ska, and being a big participant in creating an exciting steadily growing scene that is yet to see it's heydays.

March 1998; the LIBERATOR album "Worldwide Delivery" is in the pipeline. Reaching the stores on March the 30th, the fans and everyone else ready to lend an ear to the party-rhythm's of these Nordic rudies received a shaken & stirred 14 track cocktail with much more depth, maturity and variation than the debut. The album was establishing Liberator around the world, and it's also released in the US by EPITAPH.

1999: After a hectic `98 with extensive touring behind them (over 100 shows in 14 countries!)., Liberator started to write material for their third full-length-album. Liberator also played some Festivals during the summer (among others ROSKILDE and MALMÖFESTIVALEN). In December, the band entered The End Studio together with producer Kalle Kåks to record their third album, "Too Much Of Everything".

June 2000: On the 5:th of June, "Too Much Of Everything" is being released. LIBERATOR has turned their music into a more rock oriented sound, and an overall more rock'n rollish approach. The album includes 11 tracks, from hard hitting rock hymns as "Rocker's Revolution", "Louder Than Words", "Better Days" and "Too Much Of Everything" to bitter sweet ballads as "Love Strikes Rarely" and "21st Anniversary". A more traditional ska-sound is represented by "Once You Start", while new ground is taken with the irritating catchy "Lucky Idiot", the Chris Isaak-tender "Cutback" and the gospel-flavored "Get Yourself Together". It can be heard that the band been influenced by many different groups like Blur, Thin Lizzy, Toots & the Maytals, Rocket From the Crypt and Devo, and that the band is deadly serious about their music and the Liberator way of life.

2001-12-03; Burning Heart release “Soundchecks 95-00”.
A well selected mix of hits from the early jamming in 1995 up till now. Rough rude & nasty early material side by side with fine pop blended songs, and amazing songwriting that doesn’t rely on just the backbeats. Includes plenty of songs that were frequent radio-hits and/or killer live floor-fillers. 19 songs forming this wonderful “the singles & more so far” album.

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mercredi 1 octobre 2008

THE RADIATORS FROM SPACE - TV Tube Heart (1977-192vbr)


The Radiators From Space are an Irish punk rock band. The band formed in 1976 in Dublin, consisting of Philip Chevron (who was later to perform with the Pogues), Pete Holidai, Steve Rapid, Jimmy Crashe and Mark Megaray. They signed to Chiswick Records in 1977 and released two albums, TV Tube Heart and Ghostown in 1979, the latter of which featured "Faithful Departed". "Television Screen" featured on the Long Shots, Dead Certs And Odds On Favourites (Chiswick Chartbusters Volume Two) sampler Compilation album (1978: Chiswick).

Ghostown received critical acclaim, but failed to sell well. They disbanded in 1981.

Radiators' songs have been recorded by Christy Moore ("Faithful Departed") and Mary Coughlan ("Kitty Rickets"). The band reunited in 2004, with a slightly different line-up (Crashe and Megaray left the band and were replaced by Cait O'Riordan and Johnny Bonnie) and the shortened name The Radiators. Following a one-off concert, they formally reunited and signed to the 625 record label, through whom they have released two new EPs: The Television Screen (2004) and The Summer Season (2005). A new bass player, Jesse Booth, joined the band in February 2006. On 26 October 2006, the band released their third studio album Trouble Pilgrim. On 21 December 2006, they played in 'The Point', Dublin as a special guest of The Pogues.

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TRACKLIST:

1. Television Screen
2. Prison Bars
3. Great Expectations
4. Roxy Girl
5. Press Gang
6. Contact
7. Sunday World
8. Electric Shares
9. Enemies
10. Ripped and Torn
11. Not Too Late
12. Blitzin' at the Ritz
13. Party Line

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