samedi 27 septembre 2008

ASKERS - I Want You For....Ska (2001-320kb/s)

The Askers came to light in 1998 thanks to the great passion of Andrea, Tiziano and Alessio.
Our same interest to the Jamaican rhythms of the 60's, led us to make the ska a cult and deepen this passion, leading to the roots of this music: from bluebeat, turning to Rocksteady, until two tone, the most modern ska, typical of the English style of the 80's.

The songs of our demo "I want you for ska", was typically Two Tone, but not missing hints of Rocksteady.
After the registration of our demo, we have started to open concerts to bands that we could only see at the foot of the stage before this such: Skatalites, New York ska Jazz ensemble, Skarface, Arpioni, the 400 colpi, Vallanzaska, Franziska, Pitura Freska and we had played in prestigious clubs such the Rainbow and the Alcatraz in Milan and the live Club in TREZZO (BG - Italy).
In the spring of 2002, we were the headliner at the "Skapa' da Ka'" tour, playing deeply in the North and in some parts of central and South Italy.
Some of the gigs were: "Il Mulino" in Viterbo, "Blues House" in Milan, "The Skaletta" in La Spezia, "the grapes pub" in Pontremoli (MS), "The Mulligans pub" in Montespertoli (FI).
In the summer of 2003, we had released our first cd "IN MOVIMENTO" (Moving on) (Askers/Ethnoworld S. r.l.)
It includes 10 tracks: nine unpublished and one is a remake.
This cd goes from 60's ska rhythms to modern ska, with a swing and jazz contamination.
During the 2004, we have done the video clip of our single "SOLO FEDELTA'" (Just allegiance), under the scrupulous direction of Matteo Bini, and his troupe.
This clip was very appreciated by the media, and was planned on TV networks such Viva All Music, Rock TV, MTV etc...
The 2008 is the year of the turning point, after six years with the same line up, the band has a significant change of staff.
The new line up gives to the band fresh ideas, useful to create a new album in a short time "SOPRA LA MEDIA" (Above the Average) (Latlantide/EMI Music Publishing).
The single "LUGLIO" (July) has planned in many Italian radios, among the most important Radio Deejay, Radio Italia, Kiss kiss, Radio Popolare.
The new line up sees the confirmation of Alessio (drums), Tiziano (bass), Andrea (Voice and Trombone) and the join of Sebastiano (Keyboards) Luca (guitar) and Dibo (Tenor sax).
The sound of the band now, is close to Rocksteady, jamaican Ska and Reggae, getting out of the Two Tone rhythm that had characterized the first years of the band.

BIO IN ITALIANO

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vendredi 26 septembre 2008

jeudi 25 septembre 2008

HAPPY DRIVERS - War (1990-220kb/s)


Les Happy Drivers sont un groupe français de rockabilly, de psychobilly et de punk, créé en 1985.

En mélangeant le punk, le hardcore et le rockabilly, les Happy Drivers ont été l'un des rares groupes français à faire ce que l'on pourrait appeler du punkabilly ou du trashbilly. Par leur musique, ils ont bousculé les scènes rockabilly et psychobilly plutôt considérées comme sectaires. Groupe phare de la scène rock alternative de la fin des années 1980 et du début des années 1990 avec les Wampas, la Mano Negra et Ludwig Von 88, le trio va disparaître à partir dans la seconde moitié des années 1990.

Les Happy Drivers se forment le 1er juin 1985, à la fin d'un concert de Jack Scott. A l'époque, le groupe, originaire d'Angers, composé de Jean-Christophe, de Thierry et d'un contrebassiste nommé Francky "l'Iguane" , joue dans la pure tradition rockabilly, des standards des années 50 avec des habits de marin. Ils tournent sur toutes les grandes scènes rockabilly du moment. Ils enregistrent leur premier 45t : Jump Baby Jump et leur premier 33t : We'll Be Going On (avec Mickey à la contrebasse) la même année en 1987.

En 1988, Alain , ancien contrebassiste des Wampas , de Los Carayos et qui a participé au premier album de la Mano Negra, rejoint les Happy Drivers. Si Alain est un contrebassiste arborant un look psychobilly, il est pourtant à la base un punk parisien, fils de communistes, aimant les Cramps ou les Meteors mais pas le Rockabilly. Il dira même qu'à l'époque où les Drivers l'ont débauché, il n'écoutait plus que du rap. Ce goût du punk allié avec ceux de Jean-Christophe (ancien baba-cool breton) et Thierry (passionné de rockabilly) va se faire sentir dans la musique des Happy Drivers.

C'est à partir de cette époque que leur son se durcit et intègre des sonorités trash et punk. Délaissant les habits de marins et les bananes, le groupe acquiert une grande popularité sur les scènes de rock alternatif en France mais aussi en Europe. En 1990, sur l'album War , ils reprennent La Isla Bonita de Madonna et I Shot The Sheriff de Bob Marley dans des versions particulièrement destroy et binaire, qui vont faire beaucoup pour la popularité du groupe. Par ce type de chansons, ils se détachent du carcan de la scène rockabilly/psychobilly puriste.

En effet, si les Happy Drivers possèdent certaines caractéristiques propres au milieu psycho comme l'utilisation d'une contrebasse, le rythme binaire voire leur look, ils utilisent des riffs lourds sur power-chords, chantent en anglais et en français, et écrivent des chansons parfois engagés (Arena), ce qui est totalement proscrit dans les milieux rockab ou psycho. Ces "irrévérences" vont les éloigner de la scène rockabilly où ils seront parfois boudés. En revanche, ils vont s'ouvrir à un public beaucoup plus large.

En 1991, sort Toowoomba sur lequel 4 de leurs morceaux ont été enregistré live lors de leur tournée en Australie. Ce pays va particulièrement marquer Jean-Christophe et Alain (comme le témoigne le morceau Byron Bay)

A partir de la seconde moitié des années 90, le groupe disparaît peu à peu de la scène rock. En 1995, Thierry Petel et Jean-Christophe forment "Les Gargouilles" groupe de musique médiéval où Thieery s'illustre comme un créateur d'instrument de musique de génie. Ils quitteront tous les deux le groupe. Jean-Christophe est actuellement conteur, chanteur et guitariste dans la compagnie de spectacles médiévaux Gueule de loup. Alain, quand à lui, serait le batteur de Los Foiros, un groupe bordelais.

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mercredi 24 septembre 2008

MARTIN CIRCUS - 69 story 79 (1994-320kb/s)

Martin Circus est un groupe de rock français créé en 1969 et dissout en 1987.

Créé en 1969 par le bassiste Bob Brault, le saxophoniste Gérard Pisani (qui a accompagné Johnny Hallyday), le batteur Jean-François Leroy, le chanteur et guitariste Patrick Dietsch et le chanteur et clavier Paul-Jean Borowsky, le groupe se fait d'abord connaître par un premier hit, "Tout tremblant de fièvre". Martin Circus se distingue par des compositions originales très "rock progressif" comme des groupes tels que "Soft machine" ou les "Mothers of invention" de Frank Zappa. Les textes sont inspirés par les poètes de la "Beat Generation". Ils se produisent dans des concerts multiples, lors de festivals, et dans des salles de plus en plus importantes, jusqu'à l'Olympia. Après la sortie de leur album live, "En direct du Rock'n'roll circus", hiver 1969-70, lors du MIDEM de janvier 1970, le métier et la presse pop les désignent comme le groupe français numéro 1.[réf. nécessaire] En cette année 1970, ils apparaissent dans de nombreuses émissions de TV et continuent de tourner dans toute la France, notamment pendant l'été en première partie de Johnny Hallyday. À la fin de l'année 1970, Jean-François Leroy, Patrick Dietsch et Paul-Jean Borowsky quittent le groupe.

De nouveaux membres rejoignent Martin Circus en 1971 : le guitariste Alain Pewzner et le batteur René Guérin, puis le claviers Sylvain Pauchard et le guitariste-chanteur Gérard Blanc, tous deux ex-membres du groupe Les Balthazar. La formation enregistre, courant 1971, un double album, Acte II, qui contient notamment le titre Je m’éclate au Sénégal, lequel révélera Martin Circus au grand public et assurera la notoriété du groupe. Dans le paysage musical français du début des années 70, Martin Circus se distingue en proposant des compositions originales interprétées par les musiciens de la formation et des textes inspirés par le mouvement hippie. En complément des concerts et des nombreux festivals où il se produit, le groupe assure pendant quelques années les premières parties de vedettes comme Jacques Dutronc, Claude Nougaro, Claude François et Johnny Hallyday.

En 1974, les membres de Martin Circus sont à l'affiche du premier opéra rock français La Révolution française, qui se produit pendant deux mois au Palais des Sports de Paris, aux côtés d'Antoine, d'Alain Bashung et d'autres artistes. Ils reviennent au rock l'année suivante avec un album de reprises de titres des années 1960, N°1 USA - Hits des 60s. Ils enregistrent à cette occasion Marylène, adaptation d'une chanson popularisée par les Beach Boys, Barbara Ann, qui restera sans doute leur plus grand tube.

Le groupe continue à enchaîner les concerts, partageant la scène avec Michel Sardou, Joe Dassin et Gérard Lenorman puis se produit à l’Olympia en première partie de Dave en 1978. Ses membres tournent la même année dans Les Bidasses en vadrouille, film inspiré par les comédies des Charlots, et dont ils signent la musique. Le titre Disco Circus, tiré de la bande originale du film, se classe même dans les palmarès américains. La musique de Martin Circus reflète alors les tendances du début des années 1980 : disco, new-wave, variété, etc.

De succès en déception, le groupe connaît des dissensions qui poussent Sylvain Pauchard et Alain Pewzner à s'en éloigner en 1985 pour rejoindre Daniel Balavoine en concert puis en studio. Gérard Blanc entame alors une carrière solo. Il sera numéro 2 du top 50 en 1987 avec Une autre histoire[1] et essaiera de renouveler ce succès avec son deuxième titre, Du soleil dans la nuit.

Après leur séparation, les membres de Martin Circus continuent leur carrière musicale : Gérard Blanc a sorti plusieurs albums solo, Alain Pewzner accompagne plusieurs artistes comme Jean-Jacques Goldman et Sylvain Pauchard a produit des titres pour d'autres groupes, notamment Les Avions.

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AU BONHEUR DES DAMES - Jour de Fetes (1988-320kb/s)


Au début des années 60, des groupes qui font du twist et adaptent en français des succès anglais ou américains, il y en a des centaines. Au début des années 70, il n’y en a qu’un : Au Bonheur des Dames.

Vincent Lamy, alias Eddick Ritchell, Alain Ranval, alias Ramon Pipin, et Jacques Pradel, alias Rita Brantalou, sont tout d'abord réunis au sein d'un groupe progressif du nom de Io, qui remporte le tremplin du Golf Drouot en 1970. Moins de deux années plus tard, après un changement radical de nom et de répertoire, l’adjonction d’un parolier, Costric 1er, également président du fan-club, et le recrutement de quelques musiciens supplémentaires, ils remportent de nouveau ce même trophée. Ils connaissent alors rapidement le succès avec un tube de leur premier album : « Oh les filles ». Afin de mettre les choses au point, Costric 1er se fend d’un texte de présentation au verso de la pochette, dans lequel il est précisé que « Au Bonheur des Dames est une sorte de chant grégorien futuriste pour lequel les moines auraient condensé John Cale, Gloria Lasso et Bugs Bunny ».

Deux albums et quelques singles suivront, issus de la même école philosophique, échappant de peu au succès avec « Bébert le dromadaire » ou la reprise tragi-comique de « Zague Waroume ». A partir de 1975, le groupe, affaibli par le départ de Ramon Pipin (parti fonder Odeurs) que rejoindront d'ailleurs quasiment tous les autres membres, termine doucement une carrière qui aura duré plus de 10 ans. En 1987, une reformation éphémère donnera naissance à un ultime album studio qui paraîtra l'année suivante et sur lequel figure leur autre tube : « Roulez Bourrés ».

Avec un répertoire constitué majoritairement de reprises, des compositions gorgées d'humour, des costumes hétéroclites et un sens affirmé du spectacle, du gag et de la dérision, les Au Bonheur des Dames semblent n'avoir eu d'autre ambition que celle de s’amuser, comme en témoignent les fréquents fous rires qui émaillent leurs albums. On a pourtant affaire au final à un rock français assumant pleinement ses influences d’outre-Atlantique, décadent et subversif de par son second degré omniprésent, et qui a l’avantage d’exclure d’emblée de ses aficionados les auditeurs dépourvus d’humour. Attention : une reformation sur scène est toujours possible !

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lundi 22 septembre 2008

FATS WALLER - Great original performances 1927-1940 (1993-320kb/s)


Fats Waller (né Thomas Wright Waller le 21 mai 1904 à New York, mort le 15 décembre 1943) était un pianiste de jazz, organiste, compositeur et humoriste de scène américain.

Il étudia le piano et l’orgue, avant de se placer comme apprenti chez James P. Johnson, célèbre pianiste stride de Harlem. Johnson introduisit Waller dans le milieu des rent parties (réception payante avec un pianiste), puis le poussa vers une carrière de pianiste de cabaret.

Il était renommé comme pianiste – actuellement considéré parmi les meilleurs joueurs de piano stride – mais ses talents de compositeur de chansons ont quelque peu éclipsé son jeu. Avant d’entamer une carrière de soliste, il s’est beaucoup produit avec d’autres interprètes, par exemple Erskine Tate à Bessie Smith, mais ses plus grands succès sont arrivés lorsqu’il constitua son propre ensemble de cinq ou six musiciens, Fats Waller and his Rhythm en 1934

Parmi ses chansons les plus célèbres, citons Squeeze Me (1919), Ain’t Misbehavin’ (1929), Honeysuckle Rose (1929), I’ve Got a Feeling I’m Falling (1929), Blue Turning Grey Over You (1930) et Jitterbug Waltz (1942).

Il collabora avec Andy Razaf, parolier de Tin Pan Alley, début d’une longue carrière remplie de succès commerciaux qui, selon certains critiques musicaux, ont en fait masqué de grands talents de musicien de scène.

Son surnom lui est venu « naturellement », en raison de son poids (plus de 130 kg). Cette surcharge pondérale et l’excès de boisson semblent d’ailleurs avoir joué un rôle dans sa disparition précoce.

Waller fit une tournée triomphale au Royaume-Uni en 1938-1939 et fut invité dans l’une des premières émissions de télévision de la BBC. Il y fit aussi quelques enregistrement, avec un orchestre du nom de Fats Waller & His Continental Rhythm, ainsi que sa London Suite au piano.

Il joua également dans plusieurs films de long métrage et court métrage, dont Stormy Weather en 1943.

En 1929, il écrivit, avec Razaf, What Did I Do (To Be So Black and Blue)?, dont Louis Armstrong fit un succès. Cette chanson, qui se penche sur les problèmes de racisme, dément les appréciations peu flatteuses selon lesquelles Armstrong comme Waller auraient joué une musique « superficielle ».

Le 15 décembre 1943, Fats Waller mourut d'une pneumonie dans un train à proximité de Kansas City (Missouri), alors qu’il revenait de la côte ouest où il venait d'honorer un engagement.


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samedi 20 septembre 2008

GINA & L'ORCHESTRE - Bouton & Pression (1991-320kb/s)

Gina connue pour ses concerts et ses deux albums sortis en pleine effervescence du mouvement alternatif parisien, aprés une petite interruption de quelques années, reprend le chemin de la scène aujourd'hui... Elle commença brillamment par l’écriture et le chant de la chanson « L’Escalier », musique de Manu Chao, sur le premier album du groupe « Les Carayos ». Cette chanson est devenue mythique pour les trentenaires qui trainaient à 15 ans dans les concerts des groupes de ce mouvement… Puis, sur un album du groupe les V.R.P, improvisation d’une scène de ménage intitulée « La Misére des Voix Vulgaires ». Morceau mythique également Personnage féminin principal du clip « Mala Vida » de la Mano Negra. 1991 - Sortie d’un premier album « Bouton et Pression » chez P.E.M Masq sous le nom de Gina et l’Orchestre. Auteur des textes. 1994 – Sortie d’un deuxième album éponyme. Toujours auteur des textes. Sur cet album nouvelle version de "L'Escalier". De 1991 à 1995, concerts dans toute la France dans le circuit des salles et festivals de chanson française. Après ce fut la triste fin de ce si créatif mouvement alternatif. Gina se lance dans l’écriture d’un polar, "Définitif Paradis", qui fut publié aux éditions Le Serpent à Plumes en 1999. En 2001, elle quitte Paris pour s'installer à Toulouse. Puis, s’ennuyant un peu dans la littérature, elle décide de retourner à l’écriture de chansons et de repartir sur les routes conquérir le public. Son répertoire reprend aussi quelques anciennes chansons… Les concerts de Gina balancent entre chansons et sketchs, les uns amenant les autres et vice -versa. Tour de chant et onewomanshow en même temps, drôle, féroce, tendre, tonique et vivifiant !

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EUSKAL SKA ETA REGGAE - Skunk Diskak vol1 (2001-320kb/s)


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vendredi 19 septembre 2008

V/A-UniverSonoro -vol 6 (2001-320kb/s)


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jeudi 18 septembre 2008

BIG SOUL -(1995-320kb/s)


Big Soul est un groupe californien de rock aux influences funk. Ses membres utilisent sur certains morceaux la technique du sampling, ce qui a pour effet de donner une couleur electro. Il a connu le succès en France grâce à deux morceaux phares: Le Brio et Hippy Hippy Shake.

Leur nom provient d'une chanson de John Lee Hooker où ce dernier chante « What a big soul! ».

Big Soul connaît l'un des parcours les plus atypiques de l'histoire du rock. De 1989 à 1995, le groupe écume les petits clubs de Los Angeles et de San Francisco pour essayer de vivre de sa musique. Ne trouvant pas de maison de disque, il décide de créer son propre label ce qui lui permet de sortir un premier album avec les moyens du bord.

Au cours d'un concert du groupe sur Sunset Boulevard à Los Angeles, un Français achète son disque et l'emmène dans ses bagages. Cet album, simplement intitulé Big Soul, passe de mains en mains et se retrouve dans celles d'un DJ parisien qui embrase la foule de son club, avec Hippy Hippy Shake. N'arrivant pas à joindre le groupe, il fait écouter l'album chez Sony qui ne met pas longtemps pour signer Big Soul. Le groupe fait une entrée fracassante en France, déchaînant un public qui saute partout en découvrant ce style particulier de rock californien. Big Soul se fait une place dans le rock international et sort un deuxième album, Love Crazy, en 1997.

En juin 2001, Big Soul revient après une longue absence, en participant à la bande originale du film français HS Hors Service. L'année suivante, ils sortent un nouvel album intitulé Funky Beats.

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jeudi 11 septembre 2008

VILLA ADA CREW - At raina studio (2001-320kb/s)

VILLA ADA POSSE
Con le sue grandi canzoni, i concerti e le centinaia di dancehalls in giro per tutta l’Italia la reggae crew di Villa Ada ha contribuito in modo fondamentale da piu’ di dieci anni a scrivere la storia non solo del reggae di Roma, la loro citta’, ma anche del reggae italiano. La grande originalita’ di questo collettivo sta nella freschezza delle loro canzoni in italiano, parecchie delle quali gia’ leggendarie, e nella volonta’ di portare avanti un’avventura artistica in cui lo stile originale del dancehall style giamaicano si fonde con la nostra cultura e racconta le storie e le emozioni della realta’ italiana di tutti i giorni, la gioia, la speranza e spesso anche la rabbia e la frustrazione di migliaia di giovani che spesso hanno nella yard di un sound system il loro principale punto d’incontro, non importa quale sia la piccola o grande citta’ italiana in cui questo rito si tiene. Nel 2005 il progetto e’ piu’ vivo che mai: il Villa Ada Sound System e’’ attivo con tutti i suoi membri originali all’azione mentre per cio’ che riguarda i concerti la grande novita’ e’ che i cantanti ‘storici’ hanno una nuova spinta propulsiva nella Shanty Band, a tutt’oggi una delle migliori reggae backing bands italiane ed il perfetto motore per i nuovi concerti della Villa Ada Crew. Importanti novita’ stanno per arrivare anche per cio’ che riguarda la produzione e troverete ampie anticipazioni in merito in questo sito.

LA STORIA
La storia di Villa Ada Posse inizia nel 1991 dagli incontri dei suoi membri nei prati del parco che dara’ da subito il nome al gruppo. Il periodo e’ piu’ o meno quello delle occupazioni universitarie, della ‘Pantera’ e soprattutto il momento in cui in varie parti d’Italia prende piede un movimento musicale antagonista che nella varieta’ di stili ha come punti di riferimento le modalita’ espressive del dancehall reggae o dell’hip hop e la volonta’ di cantare o ‘rappare’ in italiano se non addirittura in dialetto. A Roma tra i vari gruppi attivi abbiamo gia’ One Love Hi Powa e Onda Rossa Posse. Grazie al comune amore per il reggae si forma una band che prova al CSOA Brancaleone suonando covers dei brani di Bob Marley e Jacob Miller: i primi membri di questa band sono Raina, Aldan, Lady Flavia, Giovanna, Daddy Tommy, il Drama, Marzio, Loza, Sister Fefe e Ricky. Anche il sound system inizia subito ad operare con le prime feste in cui si balla al ritmo del reggae dei pochi reggae albums che si trovano nei negozi e dei primi 12” gia’ reperibili in quel periodo a Roma. Un momento fondamentale e’ il ritorno di Aldan e Daddy Tommy da una mitica vacanza ad Amsterdam: sulla spinta di quell’esperienza Villa Ada Posse compone i primi quattro brani ‘Boom Boom Cilum’, ‘Nessuno spazio per i fascisti’, ‘Come la vedo bene’ e ‘Giocala giocala col pallone’, subito registrati in una session casalinga con il registratore a quattro piste di Aldan. Nel febbraio 1993 al Brancaleone c’e’ il primo concerto dal vivo in una piccola saletta gremita di amici: in questa prima esibizione il primo pubblico di Villa Ada Posse ascolta le varie covers in repertorio ma anche i mitici primi quattro brani originali. A quel primo concerto ne seguono altri in vari centri sociali romani come il Croce o il Sisto Quinto. Un vecchio amico dei tempi della scuola e’ in giro a cantare in una crew chiamata Vatican Posse (lui si fa chiamare Papa Giovanni, mentre il suo socio, piu’ tardi noto come Chef Ragoo si fa chiamare Paolo Secondo): dopo avere visto la VAP in uno di questi concerti chiede di entrare a farne parte. In questo modo Brusco diventa un membro effettivo del collettivo. Nell’ ottobre 1993 ai Zeni Gata Studios si registra su otto piste il primo demotape e la cassetta esce con scritto sopra ‘Se costo piu’ di semila lire rubami’. La prima tiratura va subito esaurita e negli anni si perde il conto del grande numero di copie ‘piratate’ che ci sono in circolazione, diventate una sorta di oggetto di culto. Nel frattempo anche il sound system e’ particolarmente attivo: le prime feste private ingrandiscono il giro trasferendosi all’ormai fisso Brancaleone e nell’estate 1993 Pecoz, l’unico selector della crew parte per un assai istruttivo viaggio in Giamaica. Mentre Pecoz e’ ai Caraibi Villa Ada Sound si procura i due primi medio-alti dell’impianto. Queste prime casse saranno usate come monitors durante il mixaggio dei brani del demotape. Nel giro di pochi anni di investimenti l’impianto raggiunge un assetto molto simile a quello attuale. Intanto la fama della band si allarga ed arrivano le prime richieste di concerti in tutti i centri sociali delle grandi citta’, soprattutto al nord. Il numero di covers in repertorio cala e prendono piede gli ormai numerosi e graditissimi brani originali. La scena in citta’ intanto si allarga con il reggae nelle varie radio, prima fra tutte Radio Onda Rossa, gli Spinaceto Ghetto Youths, i THC che piu’ tardi cambieranno nome in Sattamassagana Sound System: anche One Love ha pubblicato una cassetta di brani originali intitolata ‘Daje pure te’ e nel 1994 si svolge al Forte Prenestino il primo RAS meeting con sei sound systems della scena romana. Anche nelle altre citta’ italiane hanno luogo esperienze simili e per anni la scena italiana andra’ di pari passo con questa manifestazione unica nel suo genere fino all’affluenza record di folla del 2000 e l’ultima edizione svoltasi nel 2001.
Tornando a Villa Ada Posse, nel 1995 ha luogo una spettacolare serata con il VAP Sound a ospitare i Sud Sound system: il titolo della serata e’ naturalmente ‘Quando crisce crisce bueno’. La crew del sound system si stabilizza in Lady Flavia,Pecoz, Raina, Ginko e Brusco e la sua attivita’ e’ piu’ continua di quella della band, rallentata a causa degli impegni dei suoi componenti, anche se nel 1997 esce, sempre autoprodotto, l’attesissimo primo CD ‘Musically’ ad ‘immortalare’ canzoni come ‘Accore accore’, ‘Zumpi e balli’ e ‘Ciocchino’. Ovviamente anche questo disco e’ diffuso in modo sotterraneo ed incontrollato ed il numero di copie in circolazione e’ di varie volte superiore al numero di 1500 copie della prima tiratura. Il culmine dell’attivita’ della Villa Ada Posse come band e’ un concertone al Molino di Lugano addirittura in compagnia del toaster giamaicano Dillinger. Negli anni successivi escono i vari singoli della VAP e cioe’ ‘Le tue ragioni’ di Ginko (One Love), ‘Tutta na famija’ di Lady Flavia e Brusco (One Love) e ‘Reggae e liberta’ di Aldano (Satta Rec.). Nel 2000 Villa Ada Posse si esibisce al Natural Mystic Festival al Monte Peglia come supporto (insieme a Orange Dub) di Luciano, Mikey General e la Firehouse Crew. E’ da annotare nello stesso anno la dipartita di Brusco dalla VAP: Brusco continuera’ la sua carriera come solista e come MC del Gramigna Sound. Il sound system comunque in questi anni e’ attivissimo e le numerose esibizioni in Salento soprattutto nelle torride estati del reggae fanno di questa terra un po’ la seconda patria del collettivo romano. Nel 2001 esce il seguito a ‘Musically’ e cioe’ il CD ‘Villa Ada Posse at Raina Studio’, prodotto e ditribuito in maniera indipendente: la scelta dell’indipendenza artistica e’ molto coerente ed e’ uno dei presupposti fondamentali dell’ambiente musicale in cui la VAP si e’ formata ma con il senno di poi la grande difficolta’ che accomuna chi porta avanti questa esperienza in Italia fara’ si che rispetto al grande numero di brani composti la VAP sara’ sempre sottorappresentata nel panorama discografico. Nel 2001 tra l’altro Villa Ada Sound batte al CSOA Leoncavallo a Milano in un soundclash il sound milanese Golden Bass. Nel 2002 esce ‘Dancehall vibes’ di Raina e Ginko (One Love), una delle piu’ belle canzoni di sempre della VAP sul popolarissimo Angel riddim prodotto da Black Scorpio. Nel 2003 abbiamo un grosso colpo di scena: la band riparte da capo grazie all’incontro di Raina, Ginko e Lady Flavia con la Shanty Band composta da Cassy alla batteria, Robby Dread al basso, Eugenio alla chitarra ed il giovanissimo Francesco alle tastiere. La combinazione tra i cantanti veterani e questa nuova realta’ della scena reggae romana e’ assolutamente esplosiva e viene allestito un nuovo spettacolo che suscita reazioni entusiastiche in tutti coloro che hanno la fortuna di vederli insieme. Brusco rientra a far parte della Villa Ada Crew per cio’ che riguarda lo spettacolo con la band, mentre la lineup del Villa Ada Sound resta immutata con Pecoz ai giradischi e Flavia, Ginko e Raina ai microfoni. L’attivita’ discografica continua incessante ed escono ‘Berluscone’ di Raina (One Love) e ‘Accanto a te’ di Ginko (Gramigna). Un nuovo CD e’ quasi ultimato e dovrebbe uscire nel corso di quest’anno.

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mercredi 10 septembre 2008

UNIVERSAL EGG PRESENT - Lead with the bass 2 (1996-320kb/s)


Universal Egg was initially begun by Zion Train to promote Zion Train music and productions. This expanded into the release and promotion of what we consider to be undiscovered and beautiful music. There is no aim for world domination just a commitment to quality output.

With labels like Studio One, Blue Note, Real World, ECM and Sun Ra's Saturn imprint as inspirations Universal Egg has grown from humble beginnings, the first releases being distributed by London Transport, to having world wide distribution and a reputation to match.

Although the early releases were mainly Dub sounds the eclectic nature of the label was demonstrated on early releases like Robert Charlesworth's tranquil, Eno-esque 'Music for the Third Ear' and reached its pinnacle with the sublime 'Anoraks' by Penumbra. 2001 saw another genre explored by Universal Egg the beautiful new folk of the Headmix album 'Reach Out'

Dub is our first love with Vibronics, Tassilli Players, Nucleus Roots,Aabssi All Stars, Mad Professor and Zion Train providing the bedrock of the label's output. All of these artists help to maintain the reputation of Universal Egg as the most adventurous of UK Dub labels.

1998 saw the launch of our new vinyl label Deep Root following the traditional vocal/dub format. The response has been phenomenal...

2004 saw the second Vibronics long player 'Dubliftment' and a remix album of 'Original Sounds Of The Zion' with some amazing contributions from a bunch of exciting musicians.

As the early Zion Train works have become unavailable we have decided to reissue some of them and this reissue programme started in 2004 with a new edition of 'Power One', 'Power Two' and 'Jah Holds The Key' on coloured vinyl 7". This was followed by 'A Passage To Indica',and ' Natural Wonders Of The World In Dub', with 'Siren' following in 2006.

Love Grocer joined the Universal Egg family in 2005 and it was a great pleasure to release their third long player in 2006 alongside the debut album from the Abassi All Stars. We also released our first download only album with the Tassilli Players 'Ages Of The Earth in Dub' and hence entered another new chapter of the Universal Egg story with our dubplate downloads.

Radikal Dub Kolektiv and Nucleus Roots joined the Egg family in 2007 with their debut vinyl releases alongside the 'Dub Showcase' album from Abassi All Stars which with the new Zion Train album 'Live As One' made 2007 our most successful year yet. Plans for 2008 include 'Lead With The Bass Vol 3', and Dub Terror's debut long player so the future looks bright for all eggheads.

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vendredi 5 septembre 2008

REGGAE NATIONAL TICKETS - Roof Club (2000-320kb/s)


II Reggae National Tickets sono nati nel 1993 ad opera di due giovani bergamaschi Stena e Fabietto,fortemente influenzati dai promettenti e gia affermati africa unite e dalle liriche pungenti dei 99 posse vogliono entrare prepotentemente in scena con un reggae a modo loro,ibrido di dub e drum n'bass,sound che risulta evidente nei loro primi lavori,del resto la collaborazione con MAD A MAN madaski non poteva portare ad altro;man mano il loro sound si addolcisce,la voce di stena al pari di quella di bunna degli africa unite sembra essere nata per diffondere le positive vibes,ad oggi non ci sono voci cosi gradevoli nel panorama reggae italiano.Oggi il gruppo non esiste più,e difficilmente potra essere rimpiazzato.Si è frammentato tra AFRICA UNITE,FRANZISKA,e Stena "the voice" è in jamaica.Gli RNT hanno fatto un pezzo di storia per l'ital style.

Gruppo:

Stena (voce)
Fabietto (chitarra)
Sandernutz (basso)
Ale (batteria)
Arancio (tastiere)
Ricky Murvin (tromba)
Marco (sax)

Discografia:

Roof Club (2000)
La Isla (1999)
Lascia un po' di te (1998)
Un affare difficile(1997)
Squali(1996)

TRACKLIST: (click to enlarge)

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Pass:cerumen